L’affaire Dreyfus n’est pas terminée. Elle n’est pas terminée car sa version officielle, de par son caractère absurde, est un instrument d’humiliation de la France.
Dreyfus était bien coupable. Esterhazy était un agent dreyfusard ; Picquart, un renégat ; Bernard Lazare, un corrupteur ; Joseph Reinach, un mythomane anticatholique, tandis que les nombreux officiers français trainés dans la boue étaient bien souvent des hommes d’honneur.
Pour mener à bien leur entreprise de subversion, les dreyfusards n’ont reculé devant aucun moyen illicite : faux témoignages, fabrique de faux, corruption, voire même, homicide.
À chaque fois que la mort a mystérieusement frappé dans l’affaire Dreyfus, un personnage gênant pour le Syndicat a été réduit au silence.
Loin de la légende absurde entretenue par les institutions, il y a lieu de croire que le Président de la République, Félix Faure, a été assassiné.
L’exposition des moyens employés par le Syndicat suffit à révéler sa nature et ses buts ténébreux..
Fiche produit
- Nombre de pages : 192
- Dos carré collé
- Format : 14,8 x 21 cm
- ISBN : 9782494936041
- PRIX : 16€