L'Antisémitisme et le concile - Qu'est-ce que le progressisme ?
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R. P. Joaquín Sáenz y Arriaga
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J’ai aimé et j’aime l’Église avec toute la sincérité et avec toute la ferveur dont est capable ma pauvre personne.
J’ai travaillé et combattu, selon mes petites possibilités, pour la sainte cause de Dieu et dans ces luttes j’ai épuisé ce que je suis et ce que je puis. Pour nous qui avons des traditions et des idéaux espagnols, cette position est articulée et moulée dans le style le plus pur de l’ancienne tradition d’origine hispanique, de cette « Hispanité éternelle » dont parle Morente, qui ne signifie ni stagnation, ni réaction, ni ne représente l’hostilité au véritable progrès, mais consiste précisément en une croissance harmonieuse qui, à tous moments et dans tous ses éléments, porte le cachet et le style qui définissent l’essence même de notre nationalité. Comme Prêtre du Christ, j’adhère aux traditions anciennes et apostoliques du catholicisme. Je ne peux pas admettre l’idée que l’Église du Christ – notre Église – aurait vécu dans l’erreur pendant tant de siècles et qu’il serait nécessaire de retrouver maintenant l’esprit du Nouveau Testament, enseveli par l’œuvre désastreuse des Conciles et des Papes. Ce nouvel ouvrage vise à pointer du doigt l’ennemi et à démontrer une fois de plus le travail malicieux, synchronisé, mondial et permanent que le judaïsme international a réalisé et continue de réaliser partout pour détruire les bases mêmes de l’orthodoxie et de l’unité catholique.
R. P. Joaquín Sáenz y Arriaga. Dr. en Philosophie et en Théologie, De l’Archidiocèse de Mexico.
L'auteur
Le Père Joaquín Sáenz y Arriaga est né il y a 125 ans, en 1899, à Morelia au Mexique, le 12 octobre, fête de Notre Dame du Pilar et jour anniversaire de la découverte et du début de l’évangélisation de l’Amérique.Très tôt il se sent appelé par Dieu au sacerdoce et, après une dizaine d’années d’études chez les Jésuites en Espagne, il est ordonné prêtre en 1930 à Guadalajara. Rapidement il perçoit la menace que représentent les infiltrés modernistes.En 1950, à l’occasion d’un pèlerinage qu’il dirige, il rencontre le Pape Pie XII à cinq reprises. Cette joie lui est concédée à nouveau en 1958. À la mort du Pape et à l’annonce de l’ouverture d’un prochain concile, il discerne le danger et dès 1962 il s’attache à lancer des alertes auprès des Pères conciliaires. Il fait notamment partie du comité de rédaction de « Complot contre l’Église », un monument de la résistance au modernisme et de la dénonciation des ennemis séculaires de l’Église.L’année suivante, fin 1963, il peut opérer une première rétrospective et envisager des perspectives : mieux qu’un témoin lucide, c’est un visionnaire. Mais l’ennemi est légion, plein d’énergie et de ruses. Le Père Sáenz y Arriaga sait qu’il doit être rapide et ne pas s’embarrasser de fioritures.S’appuyant dans le présent ouvrage sur l’enseignement infaillible du magistère de l’Église, il rappelle dans un premier temps les condamnations réitérées et sans appel contre la Franc-Maçonnerie et le Communisme. Dans un deuxième temps, il lui faut constater que des personnages à la nuque raide utilisent ces deux instruments pour servir leur dessein. Ensuite il nous montre combien la lutte contre ces ennemis extérieurs est rendue plus ardue par la présence, comme un cancer à l’intérieur de l’Église, de traîtres, d’infiltrés et de toutes sortes d’idiots utiles, rêveurs ou pacifistes, tous bouffis d’orgueil.Digne héritier des Cristeros, regrettant peut-être de ne pas avoir un ennemi aussi visible et déclaré qu’eux, le Père Sáenz y Arriaga nous présente, certes avec verve et ironie, mais toujours avec une foi profonde et un grand amour de l’Église, les premiers éléments indispensables d’une analyse destinée à être approfondie dans ses ouvrages ultérieurs.Celui que d’aucuns ont voulu jadis faire passer pour fou afin de s’en débarrasser, a vu clair dès le début et fut même plus lucide que beaucoup de nos propres contemporains avec plus de 60 ans d’avance.L’édition originale mexicaine « EL ANTISEMITISMO Y EL CONCILIO ECUMÉNICO Y QUE ES EL PROGRESISMO », devenue introuvable, comportait quelques coquilles inévitables vu le flou de l’orthographe de certains personnages, les moyens limités du Père et l’urgence de son action. Le traducteur, un catholique français dont une partie de la famille vit en Espagne et en Amérique du Sud, s’est attaché à éclaircir ce qui devait l’être par quelques notes explicatives et biographiques.
Fiche produit
Auteur : R. P. Joaquín Sáenz y Arriaga
Éditeur : XB
Nombre de pages : 144
Reliure en cahiers cousus et collés / couverture à rabats