La secte conciliaire poursuit un objectif impossible et fou : la destruction de l’Église. Pour y arriver, elle a tenté d’éradiquer le sacerdoce en promulguant un rite de consécration épiscopale invalide dans la pseudo-constitution apostolique de Montini-Paul VI, Pontificalis Romani (18 juin 1968).
L’invalidité est certaine, puisque la forme du « sacrement » de l’ordre conciliaire ne signifie aucunement l’épiscopat, comme Léon XIII et Pie XII l’avaient pourtant exigé dans leur Magistère infaillible.
Dès lors, la hiérarchie moderniste « ordonne » des « prêtres » dépourvus des pouvoirs de dire la messe et de remettre les péchés, ce qui coupe la secte conciliaire de la grâce sanctifiante.
Dès les années 70, des clercs et laïcs catholiques ont dénoncé l’invalidité de Pontificalis Romani, suscitant en retour de vaines tentatives de réhabilitation.
Les sophismes modernistes et bien tardifs de dom Botte, repris et adaptés par les différents défenseurs du rite montinien, n’ont pas réussi à étouffer la vérité.
Face à un récent mémoire en faveur de la prétendue validité du « sacrement » de l’ordre conciliaire, le Comité Saint-Fidèle s’est donné pour tâche de démontrer à son tour que le Magistère de l’Église condamne Pontificalis Romani et l’équivoque brandie par ses défenseurs.
Fiche produit
- Nombre de pages : 150
- Dos carré collé
- Format : 14,8 x 21 cm
- ISBN : 9782494936058
- PRIX : 14€